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un bon épisode tout en tension .
j'ai toujours un peu de mal avec abby et les gosses, mais ça s'arrange.
j'ai toujours un peu de mal avec abby et les gosses, mais ça s'arrange.
Quel épisode!
La comparaisaon avec BB est assez juste. On a une qualité générale qui est d'un niveau assez semblable.
Que ray soit aussi victime du pretre, je ne m'y attendais!
Abby comprend un peu mieux son mari mais est encore assez loin de la vérité, dommage qu'elle ne soit pas sa confidente ça aiderai. Peut etre que ce sera pour plus tard.
L'infirmière risque de poser problème...
Cela ressemble effectivement à un cap dans la série, il va etre difficile de revenir en arriere a présent. Ray est sur la sellette de tous les côtés!
La comparaisaon avec BB est assez juste. On a une qualité générale qui est d'un niveau assez semblable.
Que ray soit aussi victime du pretre, je ne m'y attendais!
Abby comprend un peu mieux son mari mais est encore assez loin de la vérité, dommage qu'elle ne soit pas sa confidente ça aiderai. Peut etre que ce sera pour plus tard.
L'infirmière risque de poser problème...
Cela ressemble effectivement à un cap dans la série, il va etre difficile de revenir en arriere a présent. Ray est sur la sellette de tous les côtés!
La famille avant tout. Mêmes principes que pour Breaking Bad où les extrêmes sont convoqués pour sauver la cellule familiale. Même position féminine qui se dresse face à la radicalité masculine avant de chercher le compromis, d'abdiquer devant la dureté des situations, de chercher la préservation.
Abby aura forcé son chemin pour accéder au coeur du secret du clan Donovan. Elle n'aura pas été déçue du voyage, se résolvant à prendre le parti de son époux, désemparée face à la gravité des faits et à la vulnérabilité révélée de Ray. Idem Claudette consent à couvrir Mickey et ses salades, les sentiments plus forts que la raison. On est dans la résignation face au destin cruel et inéluctable et dans la confession qui n'arrange pas tout. Comme dans Breaking Bad là encore.
On franchit un cap dans la série, la page est loin d'être pour autant tournée (Frances sera t-elle aussi conciliante?). Sans compter l'affaire Van Miller avec le cadavre qui sort du placard. Il y aura l'évidence que si Ray avait flingué l'agent, il n'aurait pas laissé son portrait sur le mur.
J'ai adoré les scènes du gros nounours du mossad (The Lone Wolf) en baby sitter. Pas forcément sa mission la plus aisée.
Belle gravité, pas un gramme de graillon, cette série a décidément de la classe.
"I'm glad you did it. I didn't think I would be. But I am."
Abby aura forcé son chemin pour accéder au coeur du secret du clan Donovan. Elle n'aura pas été déçue du voyage, se résolvant à prendre le parti de son époux, désemparée face à la gravité des faits et à la vulnérabilité révélée de Ray. Idem Claudette consent à couvrir Mickey et ses salades, les sentiments plus forts que la raison. On est dans la résignation face au destin cruel et inéluctable et dans la confession qui n'arrange pas tout. Comme dans Breaking Bad là encore.
On franchit un cap dans la série, la page est loin d'être pour autant tournée (Frances sera t-elle aussi conciliante?). Sans compter l'affaire Van Miller avec le cadavre qui sort du placard. Il y aura l'évidence que si Ray avait flingué l'agent, il n'aurait pas laissé son portrait sur le mur.
J'ai adoré les scènes du gros nounours du mossad (The Lone Wolf) en baby sitter. Pas forcément sa mission la plus aisée.
Belle gravité, pas un gramme de graillon, cette série a décidément de la classe.
"I'm glad you did it. I didn't think I would be. But I am."
- ray devait bien se douter qu'en faisant appel à Sully pour tuer son père, que celui-ci allait raconter la vérité sur le meurtre de la petite amie de ray ( et donc de sully aussi), et que donc tout ce merdier allait lui retomber sur les pompes.
- dans l'épisode précédent, on y apprends que la fille avec laquelle ray sortait était aussi la petite amie de Sully, donc la scène du cimetière ( en épisode 5 ou 6 si je me souviens bien) est juste bizarre quand celui ci lui dit d'aller se recueillir car elle n'était pas une inconnue pour ray. J'avais pensé que c'était la fille de sully donc sa réflexion passait, mais là , je ne comprends pas trop que ray ne se soit pas posé plus de questions que ça. Car sinon il n'aurait jamais fait appel à Sully. Ou c'est pour se donner le bâton pour se faire battre.
bref je suis sceptique sur ça, maintenant j'ai surement raté quelque chose.
Dans le même ordre d'idée Sean Stevens aurait pu se montrer beaucoup plus méfiant vis à vis de Mickey compte tenu de leur historique mutuel. Lui il était surtout un peu con (comme pas mal d'acteurs représentés dans la série). Même Ezra Goodman avec alzheimer est plus lucide quant à la menace que représente le patriarche Donovan.
Pour la fille, c'est pas très clair en effet, sans compter l'histoire parallèle avec leur soeur. Ils aiment bien brouillés les cartes et avec l'histoire du prêtre plus ou moins bouclés, le final va surement plus nous éclaircir sur ce point.
Ray lui en veut pour autre chose de plus grave encore à mon avis et dont il a pu échapper. D'où le peu de scrupule à l'avoir piégé. Probablement pour la soeur et les deux frèrots l'ignorent d'où le fait qu'ils ne comprennent pas sa haine si grande envers lui par moment.
Comme Ray l'a expliqué, il n'était pas présent (baladé par Mickey) pour éviter que Bunchy soit abusé par le curé et que la sale histoire se réplique alors que Mickey n'était probablement pas plus présent pour empêcher que Ray subisse avant le même sort...
Mais j'ai du mal a comprendre. Ray sort avec une nana, Sean l'a tue, Ray défend Sean et accuse son père... Il manque un ou deux éléments à l'équation, non??
Mais j'ai du mal a comprendre. Ray sort avec une nana, Sean l'a tue, Ray défend Sean et accuse son père... Il manque un ou deux éléments à l'équation, non??
Oui mais là je pense que s'ils déballaient tout, on n'aurait pas besoin de deuxième saison. Et ce serait quand même dommage sur cette série...